CANCER DU POUMON

Une ambition commune :

favoriser le diagnostic précoce
du cancer du poumon pour améliorer
les chances de survie

Un objectif porté par le Collectif « Ensemble nous poumons », composé de femmes et d’hommes acteurs de la prise en charge du cancer du poumon. Il s’agit d'oncologues, de radiologues, de pneumologues, de chirurgiens thoraciques, de pathologistes et d'associations de patients.

  • Dr Nicolas Benoît, Pneumologue libéral à Amiens
  • Dr David Boulate, Chirurgien thoracique à l’hôpital Nord de Marseille
  • Dr Caroline Caramella, Radiologue à l’hôpital Marie Lannelongue
  • Pr Sébastien Couraud, Chef de service pneumologie de l’hôpital Lyon Sud
  • Laure Guéroult-Accolas, Fondatrice de l’association Patients en réseau – Mon Réseau Cancer du Poumon
  • Dr Hervé Léna, Pneumologue au CHU de Rennes
  • Pr Paul Hofman, PU - PH en Pathologie au CHU de Nice
  • Pr Mathieu Lederlin, Président de la Société d’imagerie thoracique et radiologue au CHU de Rennes
  • Dr Olivier Leleu, Chef de service de pneumooncologie au Centre hospitalier d’Abbeville
  • Jean-Pierre Lassaigne, Président de l’association De l’Air

Les objectifs du Collectif ? Informer et sensibiliser le grand public et les professionnels de santé sur le cancer du poumon. Facteurs de risque, symptômes peu spécifiques, bénéfices d’une prise en charge précoce sont autant de messages que le Collectif portera à la connaissance de tous. Un travail qui s’accompagne d’une réflexion sur les parcours de détection précoce du cancer du poumon. Cette démarche fait écho à la stratégie décennale de lutte contre le cancer qui souhaite mieux lutter contre les cancers de mauvais pronostic, comme le cancer du poumon(1).

INFORMER

Pour atteindre son objectif, le Collectif travaille à informer et sensibiliser le grand public et les professionnels de santé sur le cancer du poumon.

Facteurs de risque, symptômes peu spécifiques, bénéfices d’une prise en charge précoce sont autant de messages que le Collectif portera à la connaissance de tous.

Le Collectif s’engage également concrètement dans la mise en place du dépistage du cancer du poumon à travers une réflexion sur les parcours de détection précoce du cancer du poumon. Certains membres du Collectif sont aussi investis dans des programmes d’évaluation du dépistage du cancer du poumon en France.

En savoir plus sur les actions du Collectif :

L’information est le premier outil pour lutter contre une pathologie.

Le Collectif l’a bien compris et met tout en œuvre pour sensibiliser grand public et professionnels de santé. Pour cela, les experts du Collectif ont pris la parole à différentes reprises :

• une campagne diffusée dans la presse et en salle d’attente
• une campagne diffusée auprès de la communauté de patients Vivre Avec un Cancer du Poumon. Quatre experts ont notamment participé à une émission décryptant les principales interrogations du grand public sur le cancer du poumon.

« Ensemble nous poumons », le cancer du poumon en question.

Le premier enjeu est une meilleure information à toutes les étapes du parcours pour favoriser un changement de vision de la maladie.

Dr Olivier Leleu, Chef de service de pneumo-oncologie
au Centre hospitalier d’Abbeville.

Une détection précoce
peut favoriser les chances de guérison (2,3)

Chez l’homme le cancer du poumon est le 2èmecancer le plus fréquent et le plus meurtrier(2). Chez la femme, il est le 3e le plus fréquent et 2e le plus meurtrier(2).
Détecter un cancer à un stade précoce augmente les chances de guérison.
L’arrivée des thérapies ciblées et de l’immunothérapie a fait évoluer la prise en charge. En regard, les facteurs de risques et les symptômes associés au cancer du poumon sont peu connus des Français(3). 7 Français sur 10 s’estiment mal informés sur les principaux symptômes associés à la maladie(3). En outre, 61 % d’entre eux jugent ce cancer extrêmement grave et en ont particulièrement peur(3). Les Français ont donc besoin d’être informés sur les signaux précurseurs du cancer du poumon.

D’où l’importance d’une prise en charge précoce pour maximiser les chances de ces patients(3,4).

Laure Guéroult-Accolas, Fondatrice de Patients en réseau
Mon Réseau Cancer du Poumon, aux côtés de l'association
De l'Air au sein du Collectif.

Une prise en charge rapide

Impliqué dans la lutte contre le cancer depuis plus de 40 ans, AstraZeneca s’engage fortement dans le Collectif “Ensemble nous poumons”, en y apportant sa force de frappe en recherche et son support pour l’évolution du parcours patient: en R&D, sur près de 100 études cliniques d’AstraZeneca en oncologie en France, plus d’un quart sont axées sur le cancer du poumon. Grâce à ses plateformes scientifiques, la laboratoire a contribué aux avancées thérapeutiques. Celles-ci renforcent la pertinence sociétale d’une réflexion sur un dépistage organisé du cancer du poumon tel qu’évoqué par le Président Macron dans la présentation du plan cancer décennal et encouragé par la HAS à travers l'engagement d'un programme pilote. AstraZeneca contribue aussi régulièrement à la sensibilisation du cancer du poumon auprès du grand public et des professionnels de santé à travers des outils pédagogiques diffusés sur le site dédié Ensemble nous poumons. Dans le cancer du poumon, l’objectif d’AstraZeneca est clair : éliminer le cancer comme cause de décès.

Dans le cancer du poumon, l’objectif d’AstraZeneca est clair : éliminer, un jour, le cancer comme cause de décès.

Auriane Cano-Chancel, Directrice de la BU oncologie Astrazeneca France.

CHIFFRES CLÉS DU CANCER DU POUMON EN FRANCE 52 777 NOUVEAUX CAS ESTIMÉS EN 2023 33 100 DÉCÈS ESTIMÉS EN 2018 1 re CAUSE DE DÉCÈS PAR CANCER CHEZ L’HOMME ET LE SECOND CHEZ LA FEMME 7 FRANÇAIS SUR 10 S’ESTIMENT MAL INFORMÉS SUR LES SYMPTÔMES 75 % DES DIAGNOSTICS À DES STADES AVANCÉS OU TASTATIQUES SURVIE À 5 ANS + DE 50% EN CAS DE DIAGNOSTIC PCOCE
     

S'ENGAGER

Grâce aux nouvelles données disponibles, la HAS estime que le dépistage par scanner à faible dose chez les personnes exposées au tabac conduit effectivement à une diminution de la mortalité spécifique. Pour aller plus loin, le 1er février dernier la HAS a recommandé l’engagement d’un programme pilote dans le dépistage du cancer du poumon et des études en vie réelle pour obtenir les données manquantes aujourd’hui(6).

LES CRITÈRES D'INCLUSION POUR LA PRESCRIPTION D'UN SCANNER FAIBLEMENT DOSÉ SONT LES SUIVANTS (13) :

  • Le fumeur ou ancien fumeur âgé d'au moins 50 ans et de 75 ans maximum. Il doit fumer ou avoir fumé au moins 15 cigarettes par jour pendant au moins 25 ans ou au moins 10 cigarettes par jour pendant au moins 30 ans.
  • Il doit être apte à recevoir un traitement curatif (chirurgie ou radiothérapie stéréotaxique) en cas de découverte d'un cancer accessible à ces traitements.
  • S'il est encore fumeur il doit s'inscrire dans une démarche de sevrage tabagique.
  • S'il est ancien fumeur, il doit avoir cessé de fumer depuis moins de 10 ans.
  • Dans tous les cas, il doit être informé des avantages et des inconvénients de la démarche qui lui est proposée.

Le Collectif s’engage en se faisant l’écho de cette volonté et participant ou mettant en place ces programmes pilotes :

L’étude DEP KP80, menée dans le département de la Somme depuis 2016, évalue la faisabilité du dépistage de fumeurs ou anciens fumeurs âgées de 55 à 74 ans par scanner faible dose. Plus de 1000 fumeurs ont été inclus dans cette études, grâce notamment à la participation de 200 médecins généralistes, qui ont informé leur patients sur l’existence de cette étude. Les premiers résultats de cette étude confirment l’efficacité du dépistage du cancer du poumon par scanner tout en mettant en lumière le besoin d’augmenter le taux de participation(7).

L’étude DEP KP80 est la première étude pilote française en vie réelle à l’échelle d’un département à avoir confirmé la faisabilité et l’efficacité d’un dépistage du cancer du poumon par scanner faiblement irradiant chez plus de 1300 participants.

• Le programme Interception de l’hôpital Gustave Roussy situé dans le Val-de-Marne a pour objectif de créer un parcours de soin dédié aux grands fumeurs éligibles, en leur proposant notamment un dépistage du cancer du poumon par scanner basse dose. Le programme Interception repose sur 5 piliers : l’identification des risques, l’information et la sensibilisation, le dépistage et la prévention personnalisés pour finir par la prise en charge précoce en cas de cancer du poumon(8).

Le programme pilote Interception de Gustave Roussy, ouvert début 2021, a pour objectif global de démontrer qu’une prise en charge coordonnée ville-hôpital et en grande partie digitale, permettant l’identification et la prise en charge spécifique (sensibilisation, dépistage, prévention, parcours de santé) de personnes à risque augmenté de cancer, peut réduire le risque de cancers graves et la mortalité par cancer à long terme.

Dr Suzette Delaloge, Oncologue médicale à Gustave Roussy.

• L’étude pilote CASCADE de l’APHP permettra d’évaluer les enjeux méthodologiques et organisationnels que posent la mise en place d’un dépistage organisé du cancer du poumon 2 400 femmes vont ainsi être dépistées en région parisienne, Rennes, Béthune et Grenoble. L’objectif principal est d’optimiser la lecture des scanners en confrontant la lecture d’un radiologue, formé au dépistage du cancer du poumon, à une double lecture par experts(9).

• L’étude Prevalung, dont le promoteur est l’hôpital Marie Lannelongue situé dans les Haut-de-Seine, permettra d’évaluer la fréquence des cancers du poumon chez les patients atteints de maladies cardiovasculaires liées au tabac. L’objectif est d’évaluer la prévalence du cancer du poumon chez les patients atteints de maladies cardiovasculaires et ainsi d’estimer les bénéfices du dépistage chez ces patients. Cette étude se concentre sur la comparaison des taux de prévalence du cancer du poumon chez les patients atteints de maladies cardiovasculaires aux taux observés dans les essais de dépistage en Europe du sud (France et Italie)(10).

• Le projet Prevalung-Étoile du Docteur David Boulate (Hôpitaux Universitaires de Marseille - APHM) a pour but la création d’un parcours de dépistage du cancer du poumon pour les patients qui consultent à l’APHM pour des maladies liées au tabac (maladies artérielles, bronchite chronique...) ou pour un sevrage tabagique. Les patients inclus dans cette étude sont jugés à risque, c’est à dire âgés entre 45 et 75 ans, ayant fumé au moins 10 ans et présentant des antécédents de maladie cardiovasculaire.

Pour soutenir le dépistage précoce du cancer du poumon, le programme EXPLORE lancé par AstraZeneca en 2019 a retenu quatre projets de recherche soutenus à hauteur de 600 000 € sur 3 ans(11) :

• Le projet LungScreenCT, porté par Stéphanie Lopez (université Côte-d’Azur) va développer un outil d’intelligence artificielle qui aidera au diagnostic du cancer du poumon en identifiant automatiquement la présence de nodules cancéreux sur les images de scanner thoracique. À terme, l’objectif principal du projet est de conforter les radiologues dans leur diagnostic grâce à l’utilisation de LungScreenCT.

• Le projet Acapulco initié par Franck Le Duff (Centre régional de coordination des dépistages des cancers de Corse) a pour objectif le dépistage annuel par scanner faible dose de personnes âgées entre 50 et 74 ans avec un passé tabagique important, résidant en Corse. Un programme de sevrage tabagique sera proposé aux participants. Depuis le début de projet, 160 personnes ont été inclues dans l’étude et deux cancers ont été détectés.

• Le projet Ilyad porté par le Professeur Couraud (Hospices Civils de Lyon) permet d’évaluer les leviers à activer pour optimiser la participation au dépistage. Pour cela, une population de participants potentiels a été sélectionnée : celle du personnel des Hospices Civils de Lyon. À terme, l’objectif du projet est de transposer les données obtenues de cette population à l'ensemble du territoire national.

• Le projet DaCapo permettra de dépister 2 600 personnes en combinant scanner basse dose, intelligence artificielle et biopsie liquide. Ce projet sera mené sur 5 ans et inclura des patients ayant fumé au moins un paquet par jour pendant 20 ans.

Le projet DACAPO piloté au sein du CHU de Nice vise à intégrer l’intelligence artificielle et la signature biologique du cancer dans une aide décisionnelle chez les sujets « à risque » de cancer du poumon, qui se sont vus découvrir un nodule parenchymateux de nature indéterminé, et ce dans le but de raccourcir le temps « d’indétermination ».

L’objectif est aussi de développer un outil numérique partagé d’aide à la décision médicale destiné au dépistage du cancer pulmonaire. Il s’agit aussi de mesurer le sevrage tabagique chez les fumeurs qui ont entamé le chemin clinique du dépistage et d’évaluer le coûts médico-économique du dépistage en vraie vie.

Pr Paul Hofman
PU - PH en Pathologie au CHU de Nice.

LA PERCEPTION DU DÉPISTAGE DU CANCER
DU POUMON PAR LES FRANÇAIS(12)

29,3 % DES FUMEURS QUOTIDIENS ONT DÉCLARÉ AVOIR JÀ RÉALISÉ UNE RADIOGRAPHIE OU UN SCANNER DES POUMONS 81,5% DES FUMEURS SE DÉCLARENT PTS À PARTICIPER À UN DÉPISTAGE DU CANCER DU POUMON SI CE DERNIER ÉTAIT MIS EN PLACE.

Les techniques de dépistage à l’étude en France

Pour permettre une détection du cancer du poumon la plus personnalisée possible, trois techniques de dépistage sont actuellement à l’étude, basées sur l’imagerie et la biologie.

Le scanner faible dose, aussi appelé tomodensitométrie, est la technique de référence pour dépister le cancer du poumon.
Plusieurs études ont démontré que cet examen permet de diminuer la mortalité par cancer du poumon chez les personnes fortement exposées au tabac. À la demande de la Haute Autorité de Santé, cette technique de dépistage fait aujourd’hui l’objet d’études pilotes afin d’ouvrir la voie à la mise en place d’un programme de dépistage national, qui soit sûr et efficace, comme pour le cancer du sein(13,14).

ZOOM SUR LE SCANNER FAIBLE DOSE

Référence en matière de pathologie thoracique, le scanner classique est aujourd’hui un outil majeur dans la détection et le suivi du cancer du poumon. Néanmoins, le scanner faible dose a deux principaux avantages qui en font un outil de choix pour dépister ce cancer. D’une part, il est peu irradiant, contrairement à un scanner classique. D’autre part, il permet de détecter des nodules cancéreux précoces de manière plus précise et plus fiable que la radiographie(15).

Au delà du scanner faible dose, deux techniques de dépistage sont actuellement à l’étude :

Les composés organiques volatils (COV) sont de petites molécules de la catégorie des alcools, cétones, ou des dérivés du benzène. Lorsqu’ils sont présents dans l’haleine, ils peuvent être identifiés et mener ainsi au diagnostic d’un cancer du poumon. Avec les COV, l’objectif principal est donc de développer un nouveau système de dépistage du cancer du poumon qui soit non-invasif pour le patient et qui permette d’augmenter les chances de guérison (16). Le projet PATHACOV a pour but de proposer aux professionnels de santé un outil électronique de dépistage non-invasif du cancer du poumon grâce à la détection de COV dans l’haleine(17).

La biopsie liquide consiste à analyser un échantillon de sang, d’urine, de salive ou de liquide céphalo-rachidien pour détecter des biomarqueurs du cancer du poumon comme des cellules tumorales circulantes, de l’ADN tumoral circulant ou encore des mico-ARN circulants. La détection de ces molécules traduit la présence de cellules cancéreuses(4,18). Cette technique peu invasive fait l’objet de recherches dans l’objectif de dépister simultanément plusieurs cancers(4,17).

L’intelligence artificielle pourrait également compléter l’expertise médicale afin de dépister précocement le cancer du poumon. Plusieurs équipes travaillent sur le développement d’algorithmes de deep learning permettant de détecter des nodules pulmonaires sur des images de scanner. Ces algorithmes permettraient de réduire la charge de travail des professionnels de santé, d’améliorer l’évaluation du risque can- céreux de ces nodules et de réduire les coûts du dépistage du cancer du poumon(19).

La campagne de communication à destination du grand public a pour objectif de sensibiliser sur l'importance de la détection précoce du cancer du poumon dans les salles d'attente et dans la presse.

1. INCa. Dossier de presse. Stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021-2030. Février 2021. 2. Defossez G, Le Guyader-Peyrou S, Uhry Z et al. Estimations nationales de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine entre 1990 et 2018. Mars 2019. 3. Enquête Ipsos AstraZeneca. 6 001 personnes interrogées, de février à mars 2019 et 437 professionnels de santé interrogés (médecins généralistes, pneumologues et oncologues). Données analysées par la méthode du Rim Weighting. 4. Les traitements des cancers du poumon, collection Guides patients Cancer info, INCa, novembre 2017. 5. INCA. Panorama des cancers en France. Édition 2023. 6. HAS. Dépistage du cancer du poumon : la HAS recommande l’engagement d’un programme pilote. Février 2022. 7. Leleu O et al. Résultat du deuxième tour de dépistage du cancer du poumon dans le département de la Somme : étude DEP KP80. Novembre 2020. 8. Gustave Roussy. Programme Interception. Prévention et dépistage personnalisés pour les personnes à risque augmenté de cancer. 9. Université de Paris. Étude pilote CASCADE : dépistage du cancer du poumon par scanner faible dose. 10. ONCORIF. Présentation de l’étude Prevalung : vers une diminution de la mortalité des cancers du poumon. Mars 2020. 11. Le quotidien du médecin. 4 projets de recherche novateurs récompensés. Octobre 2019. 12. Baromètre cancer 2021 / Institut national du cancer et Santé publique France, janvier 2023. 13. The National Lung Screening Trial Research Team. Reduced Lung-Cancer Mortality with Low-Dose Computed Tomographic Screening. N Engl J Med. 2011. 14. S. Couraud, G. Ferretti, B. Milleron et al. Recommandations de l’Intergroupe francophone de cancérologie thoracique, de la Société de pneumologie de langue francaise, et de la Société d’imagerie thoracique sur le dépistage..., Revue des Maladies Respiratoires. 2021. 15. Thema Radiologie. Le scanner low dose pour dépister le cancer du poumon. Aout 2013. 16. Geoffrey Gregis. Etude et réalisation d’un système miniaturisé pour l’analyse de composés organiques volatils considérés comme des marqueurs chimiques du cancer du poumon. Chimie analytique. Université Bourgogne Franche-Comté, 2017. Français. NNT : 2017UBFCE008. tel-01830072. 17. PATHACOV. Diagnostic des pathologies humaines par analyse des composés organiques volatils dans l’air expiré. 18. Thierry AR et Tanos R. La biopsie liquide Une voie possible pour le dépistage du cancer. Médecine et Sciences. 2018. 19. Vendkadesh KV et al. Deep Learning for Malignancy Risk Estimation of Pulmonary Nodules Detected at Low-Dose Screening CT. Mai 2021.